• Bonjour. Nous sommes le 8 août 2006, il est 13:05, j'en suis à 81 pages dans mon roman et il faut que je continue, et que je me relise un peu, mais avant je veux improviser une note pour ce blog.

    Cher lecteur anonyme, tout d'abord, je te remercie de passer ici lire ce blog, c'est gentil de ta part, c'est grâce à des gens comme toi que j'ai un public. J'aimerais te poser plein de questions, mais j'aurais trop peur qu'on me réponde pas et qu'on me mette un gros zef. Ça vient d'où, zef? c'est joli comme mot, ça sonne bien. Zef! zef zef zef... ouais, jtrouve que ça sonne bien, mais j'ai aucune idée de l'origine. Et pour les moins au courant, se prendre un zef c'est se faire ignorer.

    Hop, j'pars ailleurs:
    L'homme était sur son cheval qui galopait, ses sabots laissaient défiler le sol, et le fessier de l'homme n'arrêtait pas de rebondir sur la selle, comme une roue de vélo sur un chemin cahoteux, mais il ne freina pas le cheval, car cet homme était pressé. On appelait cet homme Koala, car son visage faisait penser à cet animal. Koala allait à goopsy city, où il retrouverait normalement une bande de jeunes cow-boys qu'il avait rencontrés la veille, des gens braves et courageux. Il tenait à les retrouver pour qu'ils l'aident à faire enfermer une petite bande de noirs seigneurs qui avaient commencés à faire régner la terreur à Welltown.

    Ouais non jvais pas continuer parce que je sais pas comment continuer, alors je passe à autre chose.

    J'ai mis un carré de chocolat dans ma bouche, je l'ai cassé en morceaux et je l'ai laissé fondre. J'ai senti le chocolat dans ma bouche et j'ai adoré ça. C'est quelquechose que l'on peut revivre, quand c'est fini. Bla bla bla.
    Pff. Nan, je sais pas quoi raconter aujourd'hui, jvais m'arrêter tout de suite, il vaut mieux. Au revoir.

    Post-scriptum: la photo, si vous ne l'avez pas remarqué, est un dessin que j'ai fait avec des épluchures de carottes.

    3 commentaires
  • Bon, figurez-vous que j'ai écrit deux textes aujourd'hui pour mon blog, et figurez-vous que ces deux textes ont tous les deux échoué parce que mon internet arrête pas de sauter etc, alors je vais essayer de publier un troisième texte encore différent des deux premiers, mais ptet que je m'inspirerais de ce dont je me rappelle encore, je vais voir. Bon, je me lance:

    Je suis du chocolat, du bon chocolat noir, mais sucré, je suis du bon chocolat qui fond et se liquéfie sur le carrelage, et les chats arrivent en masse pour lécher mes restes, ma mare marron et sucrée par terre, du bon chocolat fondu. Après, quelqu'un essuira les restes de mes restes avec une serpillère, et ce sera comme si je n'avais jamais existé, il ne restera plus aucune trace de moi.

    Je suis une lampe à décanter, et c'est ma vie qui décante goutte après goute, journée après journée, un jour la lampe n'aura plus rien à décanter, car le liquide qui le contient est comme le temps, il s'écoule lentement mais sûrement.

    Regarde bien ce que tu vois dehors: Ça va changer. Regarde bien les modes de pensée actuels: Ça va changer.

    Regarde bien comment sont les gens, parce qu'on n'est jamais les mêmes que nos prédecesseurs, parce que nous n'avons pas hérité du même monde qu'eux, et parce que les choses changent, inexorablement, tôt ou tard, même ce qui est bien.

    La vie est une bulle qui explose tôt ou tard. Le bonheur aussi et ça me fait un peu peur. Mais il peut y avoir plusieurs bulles dans une vie. Ou alors une bulle d'une exceptionnelle longévité.

    Il a mis ses gants de dentiste, il a pris un sachet dans une poche et il a mis les yeux de sa mère dans le sachet. Sa mère avait des yeux bleus-verts, clairs, très beaux. Aujourd'hui elle est aveugle parce que son fils est devenu fou.

    Un pauvre jeune homme presque amoureux d'une jeune fille, il est persuadé que ce n'est pas réciproque et ne vérifiera jamais si ce l'était ou pas. Ce jeune homme était en chocolat, cette jeune fille était une lampe à décanter. Du chocolat avec une lampe à décanter?

    Et pourquoi pas une lampe à décanter qui décante du chocolat fondu?

    Et pourquoi pas une solution de antioxydique avec du chocolat? En sortirait-il un précépité marron? Je ne sais pas si l'antioxydique existe.

    Ce serait l'histoire d'une tablette de chocolat qui aurait peur de fondre. Autre part, il y aurait une boule de glace à la poire qui aurait peur de fondre. Ils ne se connaissent pas, rien ne prouve qu'ils se rencontreront un jour, d'ailleurs ils fondront probablement avant qu'ils en aient l'occasion, et de toutes façons qu'est-ce qui indique qu'ils se plairaient?

    Il y a des gens qui sont malheureux parce qu'ils aimeraient que leur vie ait un sens, mais ils ne savent pas si leurs vie en ont bel et bien un. Certains se tournent vers la religion, d'autres se prélassent dans leur malheur et d'autres regrettent que l'homme se soit détourné de la nature. L'homme s'est dissocié de la nature. Et en s'y dissociant, il a déséquilibré cette nature et a perdu son sens.

    Et il y a quelquepart sur terre un aborigène, qui a toujours vécu dans la jungle, et quand curieux il vient voir ce que c'est la technologie, il se dit que ça ne lui est pas utile, et les gens qu'il voient, et les animaux qu'il croise, et les arbres qu'il touche, il a la sensation que loin de leur essence, ces choses ont perdu leur âme.

    Essence.

    Dans la nature on bouffe les bestioles qui doivent être bouffées parce qu'elle se surpeuplent, et on se fait bouffer parce que yen a d'autres que nous qui ont besoin de se remplir le ventre. On meurt pas vieux mais on a un sens. Quand on bouffe on sert à quelquechose, quand on se fait bouffer on sert à quelquechose. La vie et la mort y ont un sens, là-bas. Et on fait partie intégrante de la nature. On est une bestiole qui bouffe et se fera bouffer, et ainsi on sert à quelquechose. On fait partie intégrante d'un truc cosmique qui s'appelle juste écosystème. Bon bien sûr je caricature, c'est plus compliqué que ça, et ya certains animaux qui se laissent pas bouffer.

    Nous on s'est dissociés de la nature. On s'en est dissociés et on l'a déséquilibré. Maintenant on cherche un sens qu'on trouve plus sans la nature, parce que la nature c'est la vie, et on fait partie intégrante de la vie. Mais bien sûr, TOUT est la vie.

    Mais bien sûr, moi, je serais bien incapable de vivre dans la jungle. J'ai trop vécu dans cette société pour y vivre. Je suis devenu dépendant de cette société technologique et je pourrais pas m'en passer.

    Et puis je sais plus ce que je dis, il est onze heures du soir...

     Post-Scriptum: La photo c'est moi avec du chocolat noir amer composé de 99% de cacao dans la bouche. C'est quasiment  du cacao pur et  c'est vraiment pas sucré. J'ouvre grand la bouche et du coup c'est pas beau à voir, n'est-ce pas? Oui, mais ça me fait rire. Enfin, sourire on va dire.


    1 commentaire
  • Tom

    Bjour! Non rien. En fait j'ai rien à vous dire. Tiens, je vais vous écrire ce qui me passe par la tête. Là il est 18heures08. J'arrêterais mon impro à 18heures18. Ah, il est déjà 18 heures:09
    Bon, j'ai aucune idée de ce que je vais vous raconter mais je vais plonger:
    "Tom a regardé en-dessous de lui. Il eût le vertige rien qu'en regardant, mais il DEVAIT sauter. Il se l'était promis à lui-même.
    -Bon, tu sautes ou pas?!
    -Oui, oui... Attends! Répondit Tom en regardant sous lui, et en avançant encore un peu. Il décida de sauter, là, maintenant, mais il ne le fit pas. Bon. À trois. Un...
    -Aaaah!
    Le type derrière Tom venait de le pousser dans l'eau. Les paupières de Tom gonflaient sous l'effet de l'air qu'il transperçait, il sentait son corps tomber et là, il pénétra l'eau, ou plutôt l'eau le pénétra car il but la tasse, son corps était plongé dans l'eau, l'air lui semblait loin,mais il naga jusqu'à ce qu'il puisse respirer. On lui demanda si ça allait mais Tom toussait et crachait de l'eau. Il finit par répondre en barbotant que oui ça allait, mais que Jean n'aurait pas dû le pousser.
    -T'aurais pas sauté si je t'avais pas poussé! Répondit Jean. Un grand bonhomme de seize ans, tandis que Tom en avait treize. Tom avait ressenti quelquechose de fort en traversant l'air jusqu'à l'eau, et il se dit qu'un jour il ferait du saut en parachute, ça devait être encore plus fort."

    Il est 18heures20, je suis donc en retard de deux minutes. Tant pis. De toutes façons j'avais commencé une minute passée. Et si vous trouvez ça nul, mal écrit, on va dire que c'est parce que j'ai eu que dix minutes pour le faire. On dirait pas comme ça mais c'est super court en fait dix minutes.

    4 commentaires
  • Excusez-moi pour cette absence prolongée, puisque je n'ai rien posté depuis le trois juillet. Mais là j'ai passé une semaine sans ordi aussi, donc voilà,  et pendant cette semaine j'ai lu des bouquins et j'ai dessiné. Des dessins avec de l'aquarelle et que je pense vous montrer ici.
    Eh, vous savez quoi? J'ai pris conscience de quelquechose. Vous savez, des fois on se rend compte qu'on est rien du tout, juste une petite poussière qui ne changera rien, et puis voilà, coup de blues. Un individu parmi des milliards. Eh bien, c'est pour ça qu'on veut être différent des autres. Enfin, je sais pas pour les autres, mais... Enfin jsais pas. Et du coup, face à ce besoin d'originalité, de singularité, il y a deux solutions: Devenir célèbre et reconnu dans son milieu, se faire admirer, ou juste devenir célèbre et se faire admirer, ou juste être reconnu et être admiré. Je ne sais pas quelle est la modification de son état d'esprit une fois qu'on a atteint ça. Mais je pense qu'on y risque de prendre la grosse tête et de se croire plus important qu'un autre, voire supérieur. L'autre solution: Devenir heureux. QUand on est heureux, on s'en tape d'être qu'une poussière. On s'en tamponne carrément. On est heureux, c'est tout ce qui compte. J'ai déjà ressenti ça. Un grand bonheur intense, on aimerait que ça finisse jamais, et on est content d'être à sa place. On oublie le reste du monde et on savoure sa petite bulle avant qu'elle n'explose.

    votre commentaire
  • Je déteste ça. Ces moments où tout ce que l'on peut faire là, c'est des choses que l'on a pas envie de faire. Parce que ce sont juste des choses qui vous feront passer le temps. Je préfère ces moments dont on profite un maximum parce qu'on sait que ça va pas durer éternellement. Ces moments-là sont souvent des moments qu'on passe avec les autres. Mais pas n'importe quels autres. Je ne vais pas assez vers les autres, c'est dommage. Mais bon, je peux pas changer mon caractère. vous savez, ces moment où on est là, ensemble, qu'on se marre et qu'on parle, et puis on est bien.
    J'adore ça. Et après les gens disent que je suis un solitaire. C'est le cas, remarque. Mais c'est pas ma volonté. Non parce que quand on me connaît, je suis quelqu'un de très gentil vous savez, même avec les gens que j'aime pas beaucoup. Récemment, une amie m'a avoué que quand on s'est rencontrés, j'avais l'air d'être un gars qui fallait pas venir faire chier et qui était très bien tout seul, oh lieu qu'en fait non, mais c'était l'image que je lui avais donné quand on se connaissait pas encore beaucoup. Ça m'a vraiment marqué.
    Ce texte n'est pas vraiment intéressant. Du moins pour vous. Mais il me fait passer le temps. Ces moments dont je parle, au début de ce texte, que je déteste, où je ne peux faire que des choses qui ne font que passer le temps plus vite, c'est ces moments que je passe tout seul. Tout seul, tout seul, tout seul. Enfin bon…
    Bon bah maintenant que j'ai fini d'écrire ce texte sans intérêt va falloir que je fasse quelquechose pour passer le temps... Au lieu que la seule chose dont j'ai envie c'est passer du temps avec des gens qui me sont précieux et de m'éclater avec eux. Vous me direz là jsuis avec ma mère, et elle m'est très précieuse, mais bon, je m'emmerde quand même.
    Bon allez au revoir.
    Désolé pour ce texte sans intérêt, mais ça me faisait passer le temps. Vous me direz, je pourrais très bien enregistrer ce texte sur un traitement de texte et ne pas vous le publier.
    Merde. Ça me fait chier de passer mon temps à faire passer le temps plus vite au lieu que je peux crever demain. Je préfererais m'éclater avec mes ami(e)s.
    Je mets "e" entre parenthèse parce que j'ai pas mal d'amies filles en fait. Ptêt plus que d'amis garçons. C'est pas que j'en ai pas hein, mais moins. J'ai l'impression. Enfin je parle de vrais amis hein, pas juste des connaissances, sinon j'en ai plein des amis garçons. Mais mes amis sincères sont surtout des filles. Marrant. Je crois que c'est parce qu'elles se lient plus facilement d'amitié sincère que les garçons. Enfin j'en sais rien, en plus on s'en fout, de toutes façons c'est pas intéressant ce que je raconte, alors j'arrête, ce texte est vraiment sans intérêt. Salut.

    Et je vous souhaite que demain on vous sourie plein de fois dans la rue.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique