• Raaah putain fait chier! Je viens d'écrire une note et quand j'ai fini qu'est-ce qui se passe? L'application quitte inopinément! Je dois tout réécrire! Ça me fait chier parce qu'en plus en le réécrivant, je trouve que ça perd de se spontanéité et tout quoi... Répété mot pout mot, de mémoire, ça a un côté faussé je trouve. Tant pis, je vais quand même le faire...

    Allons-y...

    "Parfois je suis dans les couloirs, assis par terre contre le mur, à attendre que le prof arrive et ouvre la porte, et je vois la foule, cette putain de foule qui me fais sentir comme une sardine, et je vois tous ces gens, je les vois, je les connais pas, je les vois défiler et j'ai l'impression de mater des fourmis, avec des gens en groupes et qui parlent, et des garçons qui tapent des filles parce qu'ils sont cons, et des filles qui leur disent "mais arrête" en ricanant comme une conne soumise et c'est pas beau, je préfère les battantes qui gardent un certain sens de l'honneur, mais bref, et puis je vois tous les gens passer, et je me demande si leurs vies ont un sens, je me demande si ils sont heureux d'exister et pourquoi, et je me demande s'ils se rendent utiles ou s'ils s'épanouissent, ou si ils vivent leur vie l'air de rien, pensant jamais à tous ces trucs, ayant peur de la mort sans se rappeler qu'ils l'ont déjà "vécu" éternellement, sans même savoir si leur vie vaut tellement le coup que ça parce qu'ils ne se sont jamais posé la question, et je vois des gens futiles et semblables, je vois des fourmis, puis je me réveille, je vois quelq'un que je connais et que j'aime bien, je lui fais coucou avec un sourire sincère, puis je me rappelle que tous ces gens ne sont pas des fourmis, que je ne suis pas à leur place mais que voilà, personne ne ressemble à personne, et qu'ils ne sont pas des futiles, certains me sont précieux, et ceux qui ne le sont pas pour moi le sont pour d'autres."

    Ça, c'est que j'ai écrit sur mon blog, une fois, il y a quelques temps. Vous savez, la tuerie qui a eu lieu hier, en Virginie? J'ai conclu qu'il y avait deux motifs principaux qui ont pu provoquer l'action de ce gars. D'abord, l'accès incroyablement aisé aux armes aux États-unis, alors qu'il y a déjà eu Colombine. C'est à vomir. Ensuite, j'ai entendu à la télé que le tueur était bien un étudiant, et que c'était un gros sans-amis. Alors voilà: quand moi je voyais plus loin que les individus-fourmis, lui n'avait pas d'amis pour lui faire réaliser que ces gens étaient plus que leur apparence. Pour lui, c'était comme écraser des fourmis... Évidemment, j'exagère, une telle opération est bien plus complexe et sanguinolente qu'un simple massacre avec l'arme du pied.

    Mais je me dis: Si j'avais habité en Virginie, et que par un concours de circonstances aucune personne de mon lycée ne m'avait accordé d'intérêt, et moi non plus, est-ce que j'aurais pu faire un tel massacre? Peut-être pas, mais peut-être que j'aurais pu, au moins, l'envisager sérieuseument, même le temps d'une minute, pour ricaner à la suivante et oublier pour l'instant. Je n'en sais rien. Mais rien que d'envisager ça, c'est déjà passer à l'acte.

    Un chemin de mille lieues commence par un premier pas. Un arbre aussi gros qu'on ne peut l'étreindre a commencé par être une graine. Lao-Tseu. C'est vrai pour l'apprentissage du dessin, pour la rédaction d'un roman, mais c'est aussi le cas pour une grosse tuerie ou un génocide.

    J'ai un souvenir très marquant qui date de l'année dernière. J'étais à la cantine, et à un moment donné, à côté de moi, on parle d'un gars radin et on le traite de feuje, ou sale feuje, je sais plus, parce qu'il est vraiment très radin. Ça m'a traumatisé. C'était dérisoire, mais j'ai mieux compris le génocide de la Seconde guerre mondiale. C'est comme ça que ça commence. Après tout, je suis juif par ma mère et ma grand-mère, qui sont plutôt du genre économe. Je ne sais pas, peut-être est-ce une caractéristique particulière des juifs,
    de par la culture? Admettons. Est-ce que pour autant tous les juifs sont radins, et aucun, je ne sais pas, aucun portugais n'est radin? Je ne pense pas. Je connais une fille qui, sans vouloir être méchant, est conne comme ses pieds, et juive. Mais je connais aussi une autre fille, conne comme ses pieds, et elle est musulmane.

    Ma grand-mère connaît des loubavitchs, qui sont des juifs plutôt extrêmistes. Du genre à fond dans les traditions et qui ne croient pas aux dinosaures parce que ce n'est pas mentionné dans la Torah! Mais est-ce que tous les juifs sont des loubavitch? Est-ce que, par exemple, il n'y a pas aussi des musulmans aussi, comme ça? Et justement, parlons-en. Est-ce que, parce que l'Iran est si extrêmiste, que l'intransigeance face aux caricatures du prophète a été si forte, et que l'Al-Qaida est islamiste, ton copain musulman va devenir terroriste? Je ne crois pas!

    Mais voilà. On prend quelques cas particuliers, on les prend comme des vérités générales, des amalgames propagés par des blagues racistes, et la graine n'a plus qu'à pousser et pousser. C'est comme ça que naît cette putain de haine. Ya des campagnards qui n'ont jamais vu un seul arabe de leur vie et qui votent FN. Ils ont pas vécu de cas particuliers, mais les amalgames se propagent, et voilà. C'est terrible.

    J'ai entendu l'année dernière qu'un français sur trois s'avouait raciste, dites-moi que c'est faux!

    C'est terrible comme la haine, la division entre les peuples, naît facilement. Mais Joann Sfar a raison. Il faut oublier ces histoires de peuples. À bas l'amitié entre les peuples, vive l'amitié entre les Hommes. Est-ce qu'une femme enceinte est enracinée dans un pays? L'Homme est nomade. L'Europe n'a pas à appartenir uniquement au peuple européen, qu'elle appartienne aux Hommes, tout simplement.

    Cette note n'est pas du tout comme la première qui a sauté. La première faisait plus coup de gueule. Et puis j'ai l'impression que c'est pas la même chose, que j'ai oublié des trucs. Je sais pas...

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  • J'étais en train de corriger mon roman quand, sur Fip, j'apprends qu'il y a eu une vingtaine de morts dont le tireur, dans un campus de Virginie, aux États-Unis. Je ne sais pas si le tireur était un des étudiants, mais je suppose que oui, et évidemment, je pense à Columbine, et je pense au film Elephant de Gus Van Sant, que j'ai vu avec mon prof d'anglais en troisième, à la fin de la projection, nous en avions discutés, et le prof souligne un trait du film qui m'avait moi-même traumatisé: Avant de tuer le directeur du lycée, un des tueurs dit que cela ne sera plus eux, mais que ça arrivera encore. Et ça vient d'arriver encore.

    Je pense à tous ces génocides, déjà avant le génocide juif, et je pense à ce génocide juif dont on parle tant afin que l'on se souvienne afin que cela ne recommence pas, mais ça recommence, après il y a eu le cambodge, le rwanda, maintenant le Darfour.

    On oublie pas, mais ça recommence, encore et encore. À chaque fois, c'est tellement horrible que ça ne peut pas recommencer, mais ça recommence.

    Et comment faire pour que ça ne recommence pas? Qu'est-ce qu'on peut faire?

    Franchement, je ne sais pas.

    Les horreurs recommencent, et pendant ce temps-là, je corrige mon roman, je vais au lycée. J'apprends ça mais tout à l'heure je regarderai calmement la télévision. C'est horrible mais ça ne me fait rien. 


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  • Ingurgiter. Se nourrir. Absorber les nutriments. Prendre les oligo-éléments, indispensables. J'y pense. J'y pense et j'y pense. Je mate les pâtisseries, lèche la vitrine, mais je ne mange pas tous ces livres. Je n'écoute pas tous ces disques. Je ne lis pas TOUTES ces bédés. Je ne lis pas tous ces blogs. J'y pense, j'y repense et y repense.
    Je n'ai pas faim parce que je mange d'autres trucs, et je ne sais pas, c'est compliqué. Et très simple. Pendant les vacances, surtout les grandes, je trouve le temps de lire, beaucoup. En période scolaire, c'est devenu impossible. Ou presque. C'est très compliqué, pour moi. Je sais pas où caser ça... Au collège, je me rappelle, c'était infiniment simple: Comme j'étais pratiquement sans amis, je m'emmerdais pendant les récrés alors j'allais au CDI. En sixième-cinquième, je lisais les bédés, puis un jour je les avais toutes lues, ou presque. Alors voilà, je suis passé aux livres. Alors à l'époque, c'était bien, je lisais beaucoup. Mais au lycée... Au lycée, le C.D.i, il est génial! Au lycée, ya pas seulement Okapi et Pomme d'Api, ya aussi Phosphore, Lire, Le nouvel observateur, Sciences et Vie, Dada, Beaux-arts magazine, etc! Il ne manque plus que Muze. Alors voilà, au CDi, moi, je me cultive! Je lis tel article sur l'histoire de la photo, sur Bayrou, sur Chirac et les pays arabes, sur le musée du quai Branly, sur la littérature moderne en Inde... Et ya TOUJOURS des magazines qu'il faut que je lise! Là, je dois lire un dossier sur le Japon dans Géo... Et encore, maintenant, c'est encore plus compliqué, avec ce temps, il fait beau, je vais sur la pelouse! Je vais même plus trouver le temps de lire ce dossier sur le Japon, alors mes livres!
    J'imagine que beaucoup de gens profitent des transports en commun pour lire. Et bah, moi j'aimerais bien! Mais je vais pas si souvent à Paris, je dois y aller moins d'une fois par mois seulement! Ah, si je prenais les transports en communs tous les jours, j'en aurai lu des bouquins! Nan et puis en plus même quand je prends le train c'est compliqué parce que si vous voulez, depuis que je pratique assez souvent le croquis, j'ai l'embarras du choix, j'hésite entre lire et croquer les gens. Nan parce que vous savez, dans la vie, ya deux catégories de personnes dans les transports en commun : Ceux qui lisent un bouquin et ceux qui profitent que les premiers lisent un bouquin pour les dessiner tranquillement.
    Alors, vous me direz, j'ai qu'à lire chez moi, avant de me coucher par exemple. Encore une fois c'est pas si simple. Moi je suis pas insomniaque, et j'ai besoin de beaucoup dormir en fait, alors en période scolaire je me couche et basta. Enfin presque, mais justement, c'est pire. Parce que maintenant je tiens un journal, que j'essaie de tenir quotidiennement, comme ça à quarante ans je me demanderai : "tiens j'avais fait quoi à seize ans le 5 Avril 2007?" Et bah j'ouvre le journal que je tenais et hop. C'est rigolo. Bon, ça me rend pas pressé d'avoir quarante ans hein. Et mon journal, je le tiens juste avant de me coucher, alors je vais au lit, j'écris ma note, et hop, dodo, et alors après jsuis crevé c'est bon, jvais pas lire.
    ALors j'ai qu'à lire pendant mes loisirs, le week-end, la semaine chez moi, tout ça? Bah oui mais moi je fonctionne comme ça : Quand j'ai plein de devoirs je glande en essayant de me forcer à les faire, et plus je pense à la quantité de devoirs à soumettre, moins je les fais, mais comme je dois les faire quand même, je glande. Perte incommensurable de temps. Là d'ailleurs je devrais réviser ma carte d'Histoire et réviser tout mon cahier de maths... Mais bref. et vous voyez, quand je glande pas sur l'ordi en me disant "après ça je vais bosser" ou que je gribouillone pas dans mon agenda en pensant encore "bon après ça je bosse hein!", eh bien, quand je fais pas tous ces trucs-là, bah je retravaille mon roman moi! Et yen a du travail...Quand j'y passe ma soirée j'y passe ma soirée! Et en plus je suis en train de dessiner une bédé, juste pour l'exercice, parce que c'est en pratiquant qu'on progresse. Alors, les bouquins... Et en première L quoi! C'est assez chaud... Avec les trois listes de bouquins à lire dans l'année, soit normalement trois livres par séquence, je suis bien dans la merde. Si vous voulez, là, pendant mes vacances, je devrais lire deux bouquins de trois cents pages dont l'un que je devrais avoir fini depuis les dernières vacances, et deux pièces de théâtres, mais ça c'est plus court. Hors, c'est des vacances de deux semaines, je fais un donjon et dragons de trois jours avec des amis, je vais voir ma soeur à la rochelle, j'ai une tirade à apprendre, une tonne de devoirs à faire pour la rentrée, dont mes fiches de français à mettre à jour, et un roman à retravailler. Hum hum. C'est cool tout ça. Cool. Keep cool, Flo. Keep cool. Jvais bien.
    Nan et puis le pire c'est que les bouquins j'ai envie de les lire. Enfin en français pas trop tous en fait, mais finalement l'oeuvre d'Émile Zola il a l'air vachement bien et Les liaisons dangereuses c'est vachement accrochant. Mais ya trop de bouquins que je veux lire, j'espère que pendant les grandes vacances, je vais lire beaucoup. J'ai un gros programme pour mes grandes vacances. Lire trois mille bouquins, soit commencer mon prochain roman, soit commencer un projet sérieux de bédé, soit les deux, et puis c'est déjà boucoup je trouve.
    Les bouquins qu'il faut que je lise? Plein! Yen a vraiment plein de je veux lire!
    —Tout est illuminé et Incroyablement fort et extrêmement près, de Jonathan Safran Foer.
    — Carmilla, de je sais plus qui.

    — La veuve de papier, Un enfant de la balle, La quatrième main et Je te retrouverai de John Irving.

    — Les raisins de la colère, À l'est d'Eden et Des souris et des hommes de John Steinbeck.

    Un roman de Tagore, ou celui de Salman Rushdie, je sais plus comment il s'appelle.

    Un roman de Tolstoï aussi, ça me plairait. Ensemble c'est tout j'aimerai bien le lire aussi.

    Ah oui! Le baron perché de je sais plus qui, il faut que je le lise aussi.

    C'est sûrement pas fini, mais là je sais plus. Le truc c'est que pendant les grandes vacances, je vais sûrement ne lire que le quart de tout ça.

    Pfou. C'est terrible.

    Tant de choses à faire alors que le temps passe si vite...

    P-s: En illustration une magnifique vanité photographique, donc hein voilà ça symbolise le temps que passe trop vite. N'empêche que c'est beau en fait la moisissure vous trouvez pas?


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  • — Une fois, un type m'a dessiné dans le métro... dit le vampire à Chat.
    — C'est quoi, un métro?
    — C'était des trucs, comme des trains, mais sous la terre.
    — Sous la terre?! s'exclama Chat.
    — Oui, sous la terre... C'était ya quelques siècles.
    Chat ne répondit rien, il redevint aussi muet que d'habitude, et le vampire admira donc le paysage autour de lui. Chat était cow-boy, et on l'appelait "Chat" parce qu'il avait beaucoup de points communs avec cet animal. Il était notamment assez silencieux, très curieux, débrouillard, il aimait qu'on le câline, et il savait mordre et griffer. C'était lui qui conduisait le cheval. Sa course faisait d'ailleurs assez mal aux fesses du vampire, mais celui-ci n'en dit rien. Les canyons et le ciel jaune l'impressionait, il était plutôt habitué au climat européen et citadin. Les sabots du cheval faisaient cataclop, catoclop, cataclop, au même rythme que les corps du vampire et de Chat qui rebondissaient sur son dos noir.
    — Ça m'a assez traumatisé, remarqua finalement le vampire.
    — Pourquoi?
    — Je n'ai pas osé lui demander si je pouvais regarder mon portrait...
    Chat ne répondit pas.
    — Je ne sais absolument pas à quoi je ressemble... Je ne sais même pas si je suis beau, dit le vampire sérieusement, toujours secoué par le destrier.
    — Et avant?
    — Avant quoi?
    — Avant que tu sois devenu vampire, expliqua Chat.
    — Je ne sais plus... C'était il y a des siècles...
    — Photos?
    — Pas de photos de l'époque, non.
    Cataclop, cataclop, cataclop.

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  • Besoin d'une petite note. Je dois bosser mon roman. Mais ça me fait chier de pas avoir pu enregistrer hier, je sais plus où j'en étais au dernier enregistrement et je sais pas où il faut que je reprenne...
    Sinon le TPE que je fais sur la bédé m'encourage à pratiquer la chose alors en ce moment je pratique, je sais absolument pas ce que je vais raconter mais j'en suis à la deuxième planche, peut-être publierai-je tout ça.
    Besoin d'une note.

    C'est parti pour l'impro.

    Le garçon tout là tout mou tout las remarqua que son cadeau qu'il avait rendu au ciel, après avoir appartenu à quelqu'un d'autre, puis après avoir été abandonné, était déjà de nouveau à quelqu'un. Lui, depuis ce cadeau, n'avait su s'en attirer aucun autre depuis.
    Enterré dans sa nostalgie, le garçon eût besoin de crever le plafond terreux, il secoua fort sa main et creva le plafond à coups de mots bien secoués. Il crève le plafond. Il est à l'air libre. C'est étrange. D'une chose: il n'a pas l'impression d'avoir gagné l'air libre. D'autre part: Il pensait que creuser serait beaucoup plus long. Il est déçu. Ça le choque encore, pour son cadeau. Enfin... Son ancien cadeau. Ça fait toujours étrange. Mais il n'est pas dans une compétition. Maintenant qu'il a crevé son tombeau, il veut crever le ciel. C'est trop haut.

    Trop haut.

    La main secouée il commence à taper son clavie et chaque "tac" est un exutoire dans le punching-ball.

    Son pouce tape la table. Son médium effleure la touche "0". Le pouce frappe deux fois, lentement, le médium touche le zéro une fois, immédiatement après le pouce, qui enchaîne avec trois coups, le médium enchaîne avec encore une touche.
    Un petit rythme créé. L'envie de continuer. Alors, sur le rythme, il pose par-dessus des bruits bucchaux, sa bouche s'ouvre, ses cordes vibrent dans son cou, sa langue danse dans sa machoire. Ça l'amuse et ça le défoule.

    Il est tout seul dans la maison alors il fait ce qu'il veut : Il crie, il joue des personnages, il s'amuse.

    Il pense à des histoires qui sont dans sa tête.

    Dans sa tête.

    Son abri nucléaire.

    Les bombes nucléaires sont fabriquées dans tous les pays étrangers.

    Jusqu'aux pays amis.

    Sa tête.

    Son abri nucléaire.

    Les relations internationnales sont si compliquées.

    Chacun est un pays. La région du cerveau pratique la politique de centralisation depuis toujours, et c'est une véritable macrocéphalie. Mais les rencontres avec d'autres pays provoquent des complications. On pense à pratiquer le protectionnisme. Éviter la crise économique.

    Proectionnisme et abri nucléaire contre la complexité des relations humaines.

    Il était naturel pour lui de s'écarter des groupes.

    "Non, rien". Arrêt du commerce extérieur.

     


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