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ce soir c'est ma soirée dessins
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Commentaires
ah ouiiii
tubulamarok!! mais bien sur! ça me disait quelque chose, mais je connaissai kun seul de ses sites! (jesuisgothique.free.fr, évidemmen ^^) mais oui il fait des trucs génial ce mec, en plus il dessine tro bien------------pui re coucou kan même, on parie ke je passe ici tous les jours hein? (mdrrr) salut à toiencore moi!
(ah pas possible celle là hein?) bah oui, c con mais tu commence à manquer, salusalu :)
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Bon, un peu crevée toujout mai je v essayer.............. Même en plein jour, je ne me sentais pas à l'aise, c'est que c'était une rue si sale! une petite rue étroite dont les pavés, usés par les voitures et par les passants, étaient mis à nu malgré une brève couche de goudron... bien sûr que je voulais la retrouver, mais là j'avais plutôt envie d'être bien au chaud chez moi...et puis, chose curieuse, on me regardait. Mais on me regardait pas du genre "salut ça va?" des regards qui me disaient "étranger", qui me disaient "va-t-en » mais je sentais des regards ou il subsistait une surimpression de « madeleine » une impression lointaine, fugitive, et pourtant je sentais que j’approchais du but. L’instinct, peut-être. La lumière ne parvenait ici que par un miracle de réfraction sur les vitres des fenêtres, un rayon de lumière traqué par les murs et zigzaguant jusqu’en bas à la recherche d’un visage à éclairer, et moi d’une personne à retrouver. « La lumière écarte le danger. » m’a-t-on dit. Je commençais à m’interesser petit à petit aux gens, aux allers retours de ces gens perdus dans leur pensées, gens froids, distants… »Mais comment vais-je leur parler ? Tiens, bonjour, vous ne connaîtriez pas une fille, grande, chataine, très jolie, venant ici la nuit ? » Devinez la réponse… « Va voir les putes qui sont à côté, mon gars » Oh mon dieu. Où est-ce que je suis tombé. puis me vient une idée affreuse, horrible, inconcevable…madeleine ? non, non, je savais…les problèmes d’argent, mais elle n’irait pas jusqu’à…non, non, c’est juste la réputation de la rue. Et soudain, que vois-je ? une silhouette grossière, qui me rappelait étrangement le gros tas gris de cette nuit. mais étais-ce vraiment lui ? je n’avais pas du tout envie de l’aborder. oui, j’avais peur. Alors j’ai demandé. « Vous connaissez l’homme là-bas ? -Oui, c’est Joe. il habite à cent mètres » Au moins, j’avais avancé. Avancé dans une petite rue à impasses. ............................................voila, en tout cas, je te fais un grooooo coucou :)