• Bah jvoulais parler de tout et de rien, mais finalement j'ai vachement parlé de la mort… Je sais pas ce qui m'a pris. Mais bon, c'est comme ça hein.

    C'est marrant, mais ce soir, j'ai vachement envie d'écrire. J'ai rien de franchement défini à raconter, mais... Mais j'ai le sentiment d'avoir tout de même à. Oui, envie j'ai envie d'écrire quoi, c'est tout.

    J'aime pouvoir improviser.

    J'aime pouvoir écrire absolument n'importe quoi et, éventuellement, pouvoir aimer, une fois le texte achevé.

    J'aime échapper à ces travaux d'écriture — dont je suis fou — mais, cependant, longs et contraignants...

    J'aime échapper à la construction des échaffaudages, du bâtiment en soi, puis du fignolage — qui peut se révéler finalement comme la plus longue des étapes, croyez-en mon expérience — pour, le temps d'un instant, laisser place à la création directe, l'improvisation, la danse, le solo, le... comment dire ?

    J'aime ce qui est long et chiant à préparer, surtout lorsque c'est réussi à la fin.

    Mais j'aime aussi ce qui est court et, comment dire... fait d'un jet ! Voilà. Fait d'un jet, c'est exactement ça.

    J'aime un travail esquissé, gommé, retracé, détaillé, mais un bon gros croquis au feutre, voire au marqueur, ou même à la peinture, fait d'un jet définitif et sans filets, j'adore...

    Hum. Oui, voilà pour ça. Et mon blog, c'est ça : c'est mes croquis rapides au marqueur.

    Hum. J'écoute radio néo (95.2, de 07h à 14h et de 19h à 23h en région parisienne, ou sur www.radioneo.org (oui, ça mérite qu'on lui fasse de la pub, enfin moi jtrouve)), et, flûte, ça vient de se terminer, mais il y a encore un instant, j'écrivais sous la musique de la dernière pub d'Oxford. Enfin, là c'est un rap qui parle justement de l'écriture, de la création, donc c'est pas mal non plus, mais je suis tenté d'écouter au lieu d'écrire... À propos de musique de pub formidable. Oui parce qu'elle est géniale la musique de la dernière pub d'Oxford, non? J'ai oublié le nom du groupe, mais bon... Bref. Est-ce quelqu'un connait le nom de la chanson, ou de l'artiste, qui est utilisée pour cette pub où on voit tout plein de canapés dans des lieux improbables, là ? Nan parce que, la MUSIQUE de cette pub, mais je la trouve... Géniale !! Enfin bon c'est subjectif, mais j'adorerai à fond pouvoir l'écouter en dehors de la pub...

    Jvoulais parler de quoi d'autre? Oh, de toutes façons, il s'agit d'improviser.

    Hum. C'est marrant. Je ne suis pas obsédé par l'idée que jvais crever un jour en ce moment. Je ne traverse absolument aucune crise existentielle. Mais, je ne sais pas... Il me semble que j'ai envie d'en parler. J'en suis même pas vraiment sûr.

    En fait... Je crois que je me sens démuni. Pas face au fait que je vais crever, mais à comment je dois le prendre.

    Ce que je veux dire, c'est que je ne veux pas simplement vivre, penser que je vais être heureux en vivant ça et puis ça, le vivre, voir que ça a ses mauvais côtés, que je suis aussi bien qu'à l'époque où je me demandais si j'étais heureux, et puis crever.

    Mais... C'est bizarre.

    En fait, je suis triste quand je vois des vies qui ne changent pas, qui, surtout, ne s'améliorent pas, et qui finalement meurent dans des maisons de retraite après avoir longuement regardé la télé et joué à la loterie.

    Après... Comment dire ?

    Je ne pense pas que...

    Je pense que beaucoup de choses se passent à l'intérieur, et qu'au fond, quelqu'un comme moi peut assez facilement profiter des bienfaits de vivre.

    Et du coup, je me dis : pourquoi je me casse la tête avec tout ça si, au fond de moi-même, je vais bien ?

     

    Hi hi. Quel texte nimportnawak. C'est beau, nimportnawak comme expression, vous trouvez pas ?

    Vous savez quoi? Je passe très certainement du coq à l'âne, mais ici je fais ce que je veux. Passons donc du coq à l'âne. Je pense donc qu'il y a deux types de souvenirs :

    - ceux qu'on aime vivre et qu'on aime se remémorer.

    - et ceux qu'on aime vivre, mais que l'on se remémore sans joie particulière.

    Attention ! Je parle vraiment de beaux instants.

    C'est-à-dire que... Il y a tous ces souvenirs-tableaux, qui représentent toute une atmosphère absolument délicieuse et qui procurent de la joie rien qu'à y repenser.

    Et il y a un de mes plus beaux jours de ma vie, qui, lui, est un tableau qui ne me procure pas vraiment de joie, mais qui au contraire me rend amer de part son incaccessibilité : je ne peux pas le revivre.

    Bon, c'est privé, jvais pas raconter, mais... C'est fou. Parce que, sur le coup, j'étais le plus heureux des hommes, je voulais que cet instant finisse jamais, mais il a fini par finir et... Et quand c'est fini, eh bien, c'est fini à tout jamais...

    C'est bizarre l'idée d'après la mort. Personnellement, je suis agnostique quant à la vie après la mort. Je ne me positionne pas, quoi.

    Disons que, face à certains témoignages, on peut pas se contenter de dire "mais non c'est n'importe quoi, c'est l'effet des médocs de toutes façons...". Et on ne sait pas non plus quoi dire lorsqu'on entend parler d'une cliente de son père psychothérapeute, qui a une mémoire intérieure d'un officier prussien de la guerre de 14-18. Ou quand une amie de ce même papounet a régulièrement des sorties du corps.

    Face à tout ça, je ne peux pas simplement dire : mais non, c'est de la merde.

    Je n'admets pas ces faits comme des vérités, mais quand j'en écoute, je pars du principe que c'est possible, sinon ce serait pas possible pour moi de côtoyer ces univers étranges. Je garde donc l'esprit ouvert malgré mon esprit rationnel.

    Mon esprit rationnel qui ne se dit pas : "bah oui, c'est possible, bien sûr que ya une vie après la mort, bien sûr que la réincarnation ça existe", tout simplement parce que je ne peux définitivement pas concevoir un corps "spirituel" dans lequel est contenu le corps charnel qu'il nous semble être. Il m'est rigoureusement impossible d'y croire.

    Mais je m'en fous, d'y croire ou de ne pas y croire. Ce n'est pas si important.

    Mais du coup, puisque je n'y crois pas, ou plutôt que je n'y crois pas spécialement, j'ai plutôt tendance à envisager un néant après la vie.

    Et c'est bizarre. Personnellement, je pense que j'ai peur de la mort parce que c'est comme ça que je me l'imagine et que, de cette manière suivante, cette mort m'est tout bonnement absolument inconcevable.

    Je ne peux concevoir l'inexistence, le non-être. Ce qui est logique, d'ailleurs. Puisque c'est des choses qui se caractérisent par leur absence de choses. En fait, ce ne sont pas des choses. En fait, si néant il y a après la mort, d'après la mort il n'y a pas. Le néant, ce n'est pas l'absence de sensations, l'absence de conscience, l'absence de pensées. Parce que de la manière suivante, on a tendance à imaginer ça un peu comme une main dont on coupe les doigts. Ce n'est même pas l'absence de tout. Ce n'est pas, tout simplement. Mais ce n'est pourtant pas simple. Parce que forcément que l'on ne peut pas concevoir, que l'on ne peut imaginer : comment voulez-vous crayonner quoique ce soit si vous n'avez pas de support pour dessiner? Comment voulez-vous imaginer quelquechose qui, forcément, ne s'imagine pas, concevoir quelquechose qui, forcément, ne se conçoit pas?

    S'il y a néant après la mort (ce qui, au fond de moi, m'est aussi difficile à croire au final que la "vie" après la mort),

    il n'y a tout simplement pas d'après la mort, c'est on meurt, et...

    Et voilà. Point de suspension on s'arrête là, et on ne lit même pas le "et voilà".

    Ce qui est embêtant avec cette théorie, c'est qu'elle rend l'existence totalement absurde.

    Ce serait une existence comme ce plus beau jour de ma vie que j'ai mentionné : On savoure, enfin, si on aime vivre on savoure, mais quand on meurt... on meurt et c'est tout.

    Ça voudrait dire que... La vie n'aurait de sens que tant que lorsqu'on serait en vie. Mais aussi après sa mort, pour les gens qui nous survivent et qui nous auront connu. C'est à dire que la vie aurait un sens pour soi et pour les autres tant qu'on est en vie, et un sens uniquement pour les autres à partir de sa mort.

     

    J'ai envie de m'arrêter là dans cette réflexion. Cependant. Cependant cependant. Ce qui me fascine avec la mort — avec la mort tout court, qu'il y ait un après ou pas (l'inconcevable après, l'inconcevable pas d'après...), c'est la dérision qu'elle rend à tout.

    C'est à dire... Au fond... Peu de choses sont graves. Enfin... Les choses qui changent vos vies à jamais le sont, parce que, normalement, vous êtes quand même encore en vie pour un bout moment.

    Mais cependant, pas grand-chose n'est grave. Je trouve que, lorsqu'on pense à la mort, ça remet vachement de choses en perspective. Il faut savoir remettre les choses à leur place, c'est-à-dire à leur place de dérision, de bien peu.

    J'aime bien, quand je pense à ça. Me dire ça. Que peu de choses sont graves, que ce qui commence finit et que donc, il s'agit de ne pas en faire un plat.

    Mais pour en revenir au tout début de ce raisonnement. Au tout début. Je parlais du fait de me sentir démuni face à la mort. Pourquoi je me disais ça ?

    Parce que... J'aurais beau penser à la mort et chercher à l'apprivoiser en mon sein — ce qui me semble pourtant très essentiel : il me paraît absolument primordial d'essayer de vivre, tant que l'on peut, dans la perspective de la mort —, si jamais je meurs écrasé par un camion, je mourrais écrasé par un camion et puis point à la ligne. Non seulement je mourrais écrasé par un camion, mais ça se trouve, je n'aurais même pas le temps de réaliser ma mort.

    C'est quelque chose qui m'a traumatisé quand j'étais en troisième. J'étais au théâtre, à la mjc. J'ouvrais une malle de déguisements, et puis je sais pas, le truc qui tenait la malle ouverte s'est cassé la gueule, donc la malle s'est soudainement refermée, j'avais juste eu le temps d'enlever mes mains, mais ça avait duré un quart de seconde, et je me suis dit : ça se trouve, je mourrais à cette vitesse. Ça m'a fait incroyablement bizarre d'avoir eu cette pensée. Penser tant de fois à la mort dans sa vie pour ne même pas avoir le temps de la réaliser. Penser tant de fois à la mort dans sa vie pour, de toutes façons, finir par être mort et point à la ligne.

    Mais... de toutes façons. La réflexion qu'on peut avoir face à la mort pour appréhender celle-ci doit surtout servir à mieux vivre, je pense. C'est paradoxal, comme idée, penser à la mort pour mieux vivre. Surtout dans l'ocurrence du néant, parce qu'alors, mieux vivre ou pas mieux vivre, ça fait pas grande différence, mais bref...

    Penser à la finitude de sa vie doit pourtant servir à soi. Relativiser les choses, par exemples.

    Mais... C'est fou. Parce que... Au-delà de toutes les pensées qu'on peut avoir dessus... Je n'arrive pas à me rappeler ce qui... Aaaah... C'était ptêt ça... Oui, enfin bref, quoiqu'il en soit. Vous avez déjà vécu une situation qui vous a fait penser que vous alliez mourir d'ici très incessamment sous peu, genre maxi quelques minutes ?

    Parce que... Ça fait réaliser que c'est... enfin, perso en tout cas, ça me fait réaliser que c'est définitivement ce dont j'ai le plus peur.

    Ce que je veux dire, c'est que, effectivement, la mort ça aide à relativiser, et pour le coup, il nous arrive des choses et on se dit : bouarf, c'est pas la mort...

    Mais, justement, un jour c'est de la mort qu'il s'agira. Et on pourra plus dire "c'est pas la mort".

     

    C'est marrant que je parle tant de la mort ce soir, parce que c'était absolument pas ce que je voulais traiter au départ.

    Parfois, je relis mon blog, et ya une époque où, sur ces quelques pages web, j'arrêtais pas de parler de la mort. Je traversais ptêt une crise existentielle. Mais, là, ça va, et pourtant ouais, j'ai fait cette note... Je devais en avoir envie.

     

    Au-delà de cette histoire de mort...

    Comment dire. J'ai envie de parler de la vie, maintenant. Au fait, avant. Quand je disais tout-à-l'heure "vivre dans la perspective de la mort", ce que je voulais dire, c'était vraiment : Traverser la vie en la mettant bien en relation avec la mort, avec sa finitude.

    Mais bref. Parler de la vie. Peut-être pas ce soir, au fond...

    Je sais pas.

    À moins que j'en ai déjà parlé au début.

    Bref. Je trouve que l'idée qu'il existe une part divine en toute chose est formidable, mais heureusement, je crois que je n'ai pas besoin d'avoir cette opinion pour me recueillir sur ce qui m'entoure. "Recueillir". Je trouve que ce mot a une connotation super religieuse. Je n'aime pas ça.

    Mais bref. Je pense qu'il n'y pas nécessairement besoin de croire en Dieu, de croire en l'âme, de croire en "la part divine en toute chose", de croire en "l'esprit des lieux" etc, si... Comment dire ? Si l'on sait vivre, tout simplement.

    En fait, il faut lire "l'homme qui marche" de Tanigûchi, c'est tout. D'ailleurs, ça fait un bail que je l'ai lu. Il faut que je le relise. Ou que je me l'offre. Je préférerai me l'offrir.

    De quoi je voulais traiter d'autre?

    Hum...

    Ah, tiens. Je trouve que les caveaux familiaux, c'est hyper sinistre. Enfin, tout le monde doit déjà le penser sans moi, mais...

    Quand on y pense. Un caveau familial. Il reste trois places. T'as un gars. Il fait un fils. Un jour son fils fait un fils. Eh bien, ça a beau être un 'tit bébé, un jour ils seront tous dans le caveau, tous les trois. C'est bizarre, non, d'y penser?

     

    Mais arrêtons ça. Arrêtons donc ça. De quoi je voulais parler d'autre ? De plus léger ?

    Je crois qu'il me reste seulement à parler de cette bédé que je viens de lire tout à l'heure...

    La boucherie, une bande dessinée publiée sur internet, de Bastien Vives.

    Je suis trop fatigué pour en parler, mais ça m'a énormément ému, c'est très impressionnant.

    Son dessin m'a rendu complètement fou de jalousie, il faudrait interdire aux gens d'être aussi talentueux... Des dessins rapides, juste ébauchés, et pourtant, il y a absolument tout. C'est exactement ce que je recherche. Et puis la mise en scène, et tout...

    Bon, jvous préviens, ça raconte rien. Enfin, si. Ça raconte la Relation amoureuse. Mais c'est plus une histoire d'émotions que de narration. C'est spécial, mais moi jtrouve ça bouleversant, et puis voilà, un talent pareil ça rend fou...

    Mais, bon, je suis fatigué, j'ai la flemme d'expliquer plus amplement pourquoi j'ai tant aimé son dessin — et puis ce qu'il dessine, mais le dessin est la première chose qui m'a positivement extrêmement choqué.

    Tenez : http://la-boucherie.blogspot.com/

    voilà, si ça vous intéresse.


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  • Commentaires

    1
    Carla
    Lundi 5 Novembre 2007 à 18:16
    la chanson de la pub =)
    Hey ! Si tu veux je l'ai la chanson de la pub d'Oxford !!Mais tu preferes la télécharger , le titre c'est "On my shoulders" de Thedo !! Voilà voila ...
    2
    Mardi 6 Novembre 2007 à 00:44
    erk
    ta photo me fait peur, on dirait des cafards morts... miam
    3
    boiseime Profil de boiseime
    Mardi 6 Novembre 2007 à 01:01
    re erk et chanson
    tiens c'est marrant il me semblait avoir fait une réponse et puis apparemment ça avait pas marché… Carla : merci pour l'info ! enplus déjà le titre j'aurais du m'en rappeler, elle répète "on my shoulders" pendant toute la chanson… éthaga/Agathe (eeeeh! Putain jviens de réaliser que ton pseudo est un… c'est quoi déjà le mot? Un… flûte… Rââh ya un mot pour ça… Bref, ton pseudo reprend exactement les lettres de ton prénom ! j'avais jamais calculé! Marrant… Bref) : Ouais jme demandais quelle photo jpourrais bien mettre pour cette article, et vu que ça parle pas mal de la mort jme suis dit les cafard morts ça correspondait… Nan et puis jcrois que j'aime bien les photos un peu scabreuses (mais pas trop non plus), c'est marrant quand les gens sont choqués. Ya comme ça une photo sur ce blog avec le dentier de mon père mis à tremper dans sa tasse de café, jtrouve ça excellent, et les gens sont toujours un peu dégoûtés…
    4
    Mardi 6 Novembre 2007 à 13:50
    héhé
    en fait on appelle ca un anagramme, mais c'est surtout mon prénom a l'envers (à l'exception du th, oui parce que ehtaga j'aime pas la position du h par rapport au t, puis eh = euskal herria, et ca fait trop la fille basque qui veut mettre des EH partout... bref, ca c'est juste la petite histoire), mais alors c'est vraiment des cafards morts ? :o
    5
    Mardi 6 Novembre 2007 à 14:14
    héhé
    en fait on appelle ca un anagramme, mais c'est surtout mon prénom a l'envers (à l'exception du th, oui parce que ehtaga j'aime pas la position du h par rapport au t, puis eh = euskal herria, et ca fait trop la fille basque qui veut mettre des EH partout... bref, ca c'est juste la petite histoire), mais alors c'est vraiment des cafards morts ? :o
    6
    Mardi 6 Novembre 2007 à 14:27
    héhé
    dsl pour le double commentaire....
    7
    Mardi 6 Novembre 2007 à 18:04
    ah
    non en fait "euskal herria" veut dire pays basque et le truc c'est que quand t'es un peu con tu sais quand tu mets ton numéro de département dans ton adress msn (je suis désolée si c'est ton cas, j'ai tjs eu un souci avec des machin64@hotmail.fr, je suis encore désolée si c'esty ton cas) bé chez nous y a machin64_EH@hotmail.... ect, c'est juste pour ca je voulais que dans ehtaga il y ait ce eh puis surtout c'est plus jolie un th qu'un ht je trouve, mais après simple gout personnel, je me suis complètement mis à l'Ethaga... bref sur ce, sinon c'est un peu gloque des cafards non ? je sais pas, je savais pas ce que c'était en fait au début c'est pour ça que j'ai mis que ca y ressemblait, comme quyoi j'ai un super méga oeil du feu de dieu héhé !
    8
    Mercredi 7 Novembre 2007 à 14:45
    haha
    J'ai rigolé tte seule devant mon ordi, alors que ma préoccupation première devrait être de bosser cette foutu leçon d'histoire pour demain... Soit, je me suis dit il a raison, ouai j'avais pas lu chose sous cet angle, mais je nuancerais, je pense pas être fière de l'endroit d'ou je suis, mais je pense être contente et particulièrement chanceuse d'etre tombée ici... Enfin, après j'aurais peut etre dit la même chose si j'avais fini racaille a bruler des voitures à écrir kom sa tro koul... ou si je fesais parti de la jeunesse qui picole à n'en plus finir des bouteilles de champagnes&co... même si de ces gens y en a près de chez moi (je cite : BIARRITZ BY NIGHTTTTT TU CONNAIS PAS?), bref... heu ouai, non mais je pense être chanceuse en fait, parce que c'est fou tout ce qu'on peut faire à la campagne, puis chez moi y a la mer à 30min et la montagne à 30min, alors bon.. puis ok, quand je regrade par mon velux, je vois des arbres et LA route principale (qui doit faire aller, 2m10 de large ? et encore je suis gentille), à gauche, un champs, à droite, une vigne... au fond une fôret.. Bon ok, je vois pas la tour eiffel de mon velux mais bon.. Non, mais en fait, c'est fou comment c'est la campagne, mais toi ne venant pas de LA capitale (humhm), tu dois voir la campagne non ? (oui, je ne connais que mon chez moi, le reste m'est totalement inconnu, mais quand je me dis que des personnes n'ont jamais vu une vache en vrai à d'autre endroit qu'au salon de l'agriculture (dsl si tu fais parti de ceux là !) ca me fait peur, pas autant que tes cafards en photos mais bon..) Sur ce, je retourne à ma colonisation et vais essayé d'analycer en profondeur les deux grands empires coloniaux et leur motivations à faire ce qu'ils ont fait ! Au plaiisir mon chèèèr !
    9
    Jeudi 8 Novembre 2007 à 20:08
    °Absurdité°
    °Oui, la Vie est absurde et presque rien n'est grave, pas même la Mort puisque, si comme on le pense tous les deux, la Mort c'est le néant, tu n'en auras même pas conscience. Donc tu mourras, plus rien n'existera pour toi mais tu ne le sauras pas. C'est pour ça que le mot nimportnawak est l'un des + importants de la langue française à mon goût.°
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