• Les aventures de Gertrude, la vache qui fumait des pétards.


    Alors après avoir publié la présentation de Gertrude, je vais publier l'aventure que je lui ai fait mener tandis que je m'emmerdais au lycée.
    C'est parti:
    "Je vous ai présenté Gertrude dans mon agenda. Maintenant, je vais vous raconter une histoire qui lui ait arrivée il n'y a pas très longtemps. Gertrude fumait son herbe, tranquillement, attendant des hallucinations qui n'arrivaient jamais, lorsqu'elle se rendit compte qu'elle aimait Jean-Paul. Jean-Paul était un taureau, fougueux, viril, protecteur, drôle, et doux, parfois. Toutes les vaches l'aimaient. Et Gertrude  se rendit compte que, malgré sa différence flagrande, elle aimait, elle aussi, Jean-Paul. Celui-ci n'était pas au courant car il ne la connaissait pas beaucoup. Juste un "salut" de temps en temps. Ils ne se faisaient même pas la bise (au grand regret de Gertrude, mais vraiment, elle était trop timide pour ça). Gertrude, elle, connaissait bien Jean-Paul, grâce aux discussions qu'elle assistait de temps en temps où Jean-Paul était le principal sujet. "Quoi?! Il ne sort plus avec Jacqueline!?! Mais comment ça se fait?!" Gertrude savait ainsi, par exemple, que le fameux taureau était célibataire depuis la veille. Mais Gertrude était embêtée. Aucun taureau n'avait jamais voulu d'elle, alors Jean-Paul! Il ne sortait qu'avec les vaches les plus belles, sympas, intelligentes,conformes. Or Gertrude était anticonformiste. Donc pas du tout conforme. Et puis elle était timide.Très timide. Mais avec son entourage proche (ses mouches, ses tâches...) elle avait un caractère de chien et pouvait être très vache (C'est drôle, non, comme jeu de mots? Non?... Bon...). Elle mangeait assez peu car fumait surtout. Et Jean-Paul n'aimait pas les vaches trop maigres. Elle décida donc d'arrêter de penser à Jean-Paul, c'était la meilleure solution. Mais elle n'avait aucun autre sujet en tête. C'est alors qu'une chaise vivante arriva dans le pré. La chaise était toute essouflée et s'était évanouie. Toutes les vaches étaient arrivées auprès d'elle. Finalement, elles s'en allèrent toutes, trouvant somme toute que le sommeil de la chaise n'avait rien de captivant.  Gertrude en profita pour aller la voir. La chaise se réveilla à cause de l'odeur de brûlé provenant du pétard de Gertrude:
    -Non! Non! Pas de feu! J' veux plus brûler!
    Gertrude remarqua alors les traces de brûlures sur la chaise.
    -Excuse-moi, petite chaise, j'éteins mon pétard. 
    Elle éteignit donc son pétard puis demanda à la chaise:
    -Kesstu fous dans ce pré?! 
    -Je sais pas...Laisse moi dormir...
    Gertrude s'en alla et laissa donc la chaise dormir.
    Gertrude partit se promener dans un coin du vaste pré. L'herbe y était plutôt sèche. Elle s'affala sur le sol et fuma cette herbe, car elle préférait fumer à brouter, surtout l'herbe sèche. 
    Mais en fait, ça l'occupait pas, elle s'ennuyait. Elle aurait préféré en savoir plus sur cette chaise. Elle retourna donc la voir, et insisar pour qu'elle lui raconte qu'est-ce qu'elle foutait dans ce pré.
    La chaise se résigna donc à raconter son histoire à Gertrude, et lui expliqua qu'elle habitait autrefois dans le cabinet d'un psy et que tout le monde posait ses fesses sur elle. Et elle expliqua à Gertrude qu'un jour, un donneur de vie s'assit sur elle et lui donna ainsi la vie sans faire exprès. Elle en profita pour partir, mais se fit avaler par une fourmi géante, qui elle-même finit par se faire avaler par un ver de terre mutant. Le ver de terre fut victime du feu d'un incendie dans une gigantesque forêt, et s'enflamma tout entier. La fourmi géante, dans l'estomac du ver de terre mutant, s'enflamma à son tour, et la chaise vivante sortit à temps du corps de la fourmi pour courir dans un lac dans lequel elle plongea pour ne pas brûler vive. L'incendie éteint, elle sortit de l'eau et marcha vers... Nulle part en particulier. Mais, un tigre du Bengale affamé se mit à la pourchasser et elle se mit donc à courir le plus vite possible et le plus longtemps qu'elle pût jusqu'à évanouissement. Apparemment, le tigre du Bengale ne l'avait pas suivi jusque là, puisqu'elle n'était pas morte. 
    Gertrude était très impressionée par l'histoire de cette chaise. Elle l'invita à fumer avec elle, mais celle-ci ne pouvait plus toucher à quoi que ce soit qui faisait du feu. Elle souhaitait juste rentrer de son escapade, chez son propriétaire qui était un psy. Elle repartit donc, une fois bien reposée. Et Gertrude se remit à penser à Jean-Paul."

    Et là j'ai pas fait de suite, mais qui sait? Peut-être un jour




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