• deuxième petit conte

    Il était un robot qui faisait peur aux gens parce qu'il était un robot, parce qu'il n'était pas vivant, parce qu'il n'était pas naturel; mais qu'il semblait vivant, mais qu'il semblait naturel. Et le robot en souffrait, car il ne voulait pas faire peur, au contraire, il voulait aimer et voulait la tendresse. Mais tout le monde le fuyait, tout le monde avait peur de lui.
        Un jour, le robot devint par le plus grand des hasards un prince charmant. Personne ne savait qu'en fait, c'était le robot, le robot qui faisait peur à tout le monde. Et le robot, quand il se mettait à se conduire comme celui qu'il était réellement, au lieu qu'il semblait être un prince charmant, faisait peur aux gens, de nouveau. Et il devait donc se conduire comme un prince charmant, comme pas lui, pour pouvoir aimer, pour pouvoir la tendresse. Et le robot en souffrait, car on l'aimait pour ce qu'il n'était pas. Et le robot n'avait pas d'audace, et n'osait donc pas crier aux gens: “Je suis le robot! Je suis le robot qui fait peur à tout le monde! Aimez-moi, car vous voyez bien qu'en même temps je suis le prince charmant!”
        Et le robot souffrait et continuait de souffrir, car il n'osait pas avouer qui il était vraiment, il n'osait pas avouer que celui que tous aimaient, c'était celui dont tous avaient peur.



  • Commentaires

    1
    Vendredi 23 Décembre 2005 à 19:58
    ...
    oui, c un peu comme bcp de gens, il sont obligé de se conformer aux autres pour être accepté et ne plus etre seul...mais ceux ki se conformen pour etre accepté son peutete moin aveugles ke ceu ki ne se rende pa compte kil son conditionné
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