• Ce soir, je viens d'essayer de faire une note dessinée. Genre blog bédé. Comme je suis trop flemmard je l'ai torché directement au stylo. Et progressivement, le sujet de la courte note en est venue à être cette flemme qui me faisait dessiner mal. Je trouve donc que c'est une note très chouette et j'aurai beaucoup aimé vous la montrer.

     Alors je l'ai scanné, pour la mettre en couleur et tout. Je l'ai fait passé par iphoto pour rapetisser. Mais c'était devenu trop petit. Ce que j'avais écris était devenu illisible. J'ai essayé d'arranger ça, en ajoutant du texte dessus par ordi... Mais l'affaire s'est avéré finalement délicate. De plus, j'ai commencé à mettre en couleur, et si je torche c'est pas joli, alors là aussi l'affair est délicate.

    Tout ça pour dire que sur papier c'est joli mais que pour rendre ça vraiment joli et accessible sur internet c'est plus chiant.

    Donc je crois qu'il n'est pas encore venu le temps où me lirez en bédé.

     (ci-dessus, l'objet-dit en tout minuscule)

    (sinon en fait c'est ma deuxième tentative de note dessinée, mais la première, jusqu'à maintenant j'ai toujours eu la flemme de la finaliser sur ordi... enfin j'ai commencé et puis pas terminé quoi.)


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    C'est un type dans sa bulle qui observe le monde. Comme il s'ennuie il s'imagine vivre tout un tas d'aventures, où il rencontre plein de personnages incroyables. Comme il se les imagine, ces aventures sont toujours merveilleuses. Seulement, il ne se confronte jamais au réel, soit, à l'essentiel.

     

     

     

    (Cette phrase que je viens d'écrire me fait penser à La Rose pourpre du Caire de Woody Allen, film sensible, touchant et mélancolique, qu'il faut absolument voir et qui parle exactement de ce thème-là.)


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  • Je suis devant un miroir et je sais que vous êtes derrière et que pour vous ce miroir n'est qu'une vitre. Vous me voyez et je ne vous vois pas et vous faites exprès de rester dans l'ombre. je joue des claquettes pour vous mais sans écho je n'ai aucune idée de ce que je suis en train de faire.

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  • Je mange un filet de hareng avec des légumes. Les arêtes du hareng sont comestibles, mais désagréables à la bouche, alors j'essaie de les enlever comme je peux.

    Naissent, à un moment donné, plusieurs géants dans ma tête. Ils sont tellement grands que nous en sommes minuscules à côté d'eux. Ils mangent et dans leurs assiettes il y a quelques humains bien appétissants. Une des géantes, avec son couvert, tâche d'écarter deux morceaux de chair : elle trouve dans sa viande quelques os. Elle essaie de les enlever, mais chaque os reste profondément accroché dans la chair.

    "Mais ! Qu'est-ce que tu fais ?! Ces os sont minuscules, tu peux très bien les manger !" s'exclame un autre géant.

    "Oui mais c'est désagréable dans la bouche..."

    "Bon... Fais comme tu veux..."


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    C'était un petit peu comme raser une forêt avec un canif. J'ai d'ailleurs fini par utiliser une paire de ciseaux, pour dégager un peu. Je ne m'étais plus rasé depuis fin Juin.

     

    Ça me fait extrêmement bizarre, le pire, c'est la moustache. Ne plus en avoir au-dessus de la bouche, ça me transforme le visage. J'aime vraiment avoir une moustache au-dessus de ma bouche. Jamais une moustache tout court, c'est naze, avec moi la moustache est toujours une partie intégrante de toute une coupe de barbe, mais, bon sang, la moustache, quoi... J'aime trop. 


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