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    (j'aimerai beaucoup écrire une vraie note. Mais ces temps-ci je n'en trouve pas la force. Je trouve simplement la force d'éviter de bosser… et de sortir à Paris, bien sûr.)

    Le truc c'est que j'ai besoin d'un élan pour écrire une note. J'ai besoin de me pousser moi-même en avant, de ressentir comme une bousculade dans ma tête. J'ai besoin d'être en train d'échauffer mon esprit, et de réaliser que je peux en faire quelque-chose sur mon blog.

    Je pourrais vous parler de ma note avortée bien malgré moi, il y a quelques semaines. Une note qui me plaisait beaucoup, dont j'étais assez satisfait. Je pourrais vous parler de Paris, de comment je ressens Paris. Je pourrais vous parler du travail que j'évite, qui, j'ai l'impression, fait la taille de l'Everest : il y a tellement de choses à faire que je ne sais pas quoi faire. Or les jours vont passer très vite d'ici la rentrée. Je pourrais vous parler de mon retour aux bercailles, après trois mois en coloc à Strasbourg. Après tout ce temps, ça fait drôle de rentrer chez sa mère. C'est un retour dans le cocon, dans l' "avant", mais on sait que cette période est quand même révolue. On reprend très très vite ses marques, mais on sait que ce n'est plus tout à fait chez soi. D'ailleurs on n'y passe qu'une bonne semaine…

    Mais j'ai juste pas assez d'élan pour vous écrire vraiment. Pas d'ébullition dans ma tête.

    Une note par ici c'est comme le lait qui déborde de la casserole, sauf que c'est bien. 

    J'espère que la musique vous plait.

     

    (post-scriptum : par contre j'ai posté un nouvel article sur l'île des patates libres, mais la réflexion que j'y fais y est extrêmement mal développée. C'est pas grave car c'est surtout histoire de parler un petit peu du film Away we go qui m'a assez touché)


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